Mêlant habilement textes (principalement, des menus contextuels) et graphismes (composés à la fois d'écrans statiques et d'un mode de déplacements et de combat en vue isométrique), l'interface du jeu permet au joueur d'accomplir comme il le souhaite les nombreuses quêtes disponibles, sans lui fixer d'objectifs contraignants : ainsi, selon la manière dont ils se comportent, les personnages acquièrent une réputation positive ou négative, mais qui demeure limitée sur le plan géographique. Cette caractéristique leur permet d'être considérés comme des héros dans une région, tout en étant haïs dans une autre. En outre, l'âge des personnages influence leurs capacités, et le déroulement du temps est géré de manière réaliste. Les combats, en pseudo-temps réel, font intervenir des calculs complexes (gérés par l'ordinateur), puisque l'efficacité de tel ou tel type d'armes contre tel ou tel type d'armure est également pris en compte. Tous ces aspects « simulation » concourent pour donner au jeu une dimension étrangère aux autres jeux de rôles sur ordinateurs.
Le magazine Dragon (n° 190) attribua à Darklands une note de 4/5 à sa sortie.
Configuration recommandée : 2 Mo de RAM, processeur 386, affichage VGA, 18 Mo d’espace disque, MS-DOS, carte son IBM, Sound Blaster ou Roland. Déconseillé aux moins de 12 ans.