Bon exemplaire, rare dans cette édition à la couverture signée Christopher Cross (la première chez J'ai lu). J'ai lu n° 760. Texte traduit de l'Américain par Michel Deutsch. © S. Delany, 1968. Pour la traduction française, Robert Laffont S.A., 1971. Imprimé par Brodard et Taupin, Usine de la Flèche, le 10-06-1977. Dépôt légal 2e trimestre 1977. Illustration de couverture de Ch. Foss. 313 p.
Samuel Delany est né le 1er avril 1942 à Harlem. Très tôt il écrivit des poèmes et des nouvelles, puis, à 19 ans, son premier roman. Il a épousé la poétesse Marilyn Hacker. C’est un des plus doués des jeunes écrivains de sa génération.
Lorsqu’une étoile explose, elle devient une nova. Une prodigieuse alchimie élabore en son cœur un métal dense, l’illyrion, indispensable à la propulsion des astronefs.
Autrefois, l’illyrion se fabriquait artificiellement ; maintenant, au XXXe siècle, les étoiles jeunes, qui recèlent de l’illyrion en quantité infimes, sont transformées en Colonies Extérieures. Aussi Lorq Von Ray, héritier des Pléiades, projette-t-il de plonger dans une nova au moment de son explosion. La quantité prodigieuse d’illyrion qu’il pourrait ramener déciderait de la suprématie économique et politique des Pléiades face à la Terre.
Mais ne désire-t-il pas surtout conquérir la trop belle Ruby, sœur de Prince Reed ?
Entre Lorq Von Ray et Prince Reed, magnat de la Terre, s’engage une lutte à mort.
(Texte de quatrième de couverture.)