Il s'agit indubitablement d'un jeu Ocean de David Collier et Martin Galway (on ne change pas une équipe gagnante !) Cette fois, c'est le champion du monde de décathlon Daley Thompson (dont la coupe de cheveux d'alors, il faut bien l'avouer, évoque aujourd'hui d'avantage celle de Michael Jackson avant la chirurgie esthétique que celle du Carl Lewis britannique de l'endurance...) qui prête sa caution au jeu.
La jouabilité, donc, alors à la mode et très populaire auprès des fabricants de bâtons de joie, est proche de celle qui rendra tristement célèbre l’épreuve de triathlon des Winter Games d’Epyx : gauche droite gauche droite gauche droite... Elle suppose à la fois des nerfs d’acier et une patience à toute épreuve. Le résultat est qu’il est très facile de se laisser prendre au jeu, surtout à deux, et plus encore de casser sa manette (de préférence un modèle made in HK de Spectravidéo), même si les sprites du jeu ont la tête plate !