Et bien, pour faire bref, de tout. Oui, tout y est plus bô et tout y est mieux. D'abord, il y a Mark Hamill, le vrai, l'unique, en chair et en... Non, en pixels, mais bien incrusté dans le jeu. Et puis il n'est pas seul : il y a aussi ses copains Tom Wilson (Retour vers le futur), John Rhys-Davies (Indiana Jones) et même Malcolm McDowell (lui, vous connaissez)… Une seule remarque personnelle : dommage qu'il n'y ait pas plus de filles là-dedans. Enfin... Tout ça pour dire qu'il y a des cinématiques à tomber par terre ! On n'avait jamais vu ça avant, vraiment. Et puis, il y en a beaucoup : Wing Commander III a coûté près de 4 000 000 USD (soit 1 000 000 USD par CD-Rom), alors vous pensez bien ! On ne fait pas les choses à moitié chez Origin, hein ? (D'ailleurs, c'est peut-être ça qui les a mis sur la paille...) Ensuite, les Kilrathi, il y en a encore plus qu'avant et plus méchants... Enfin, il y a surtout les missions, parfois un brin trop courtes mais qui s'enchaînent avec un rythme de progression parfait.
De la belle ouvrage dirait mon professeur ! Une fois qu'on a commencé, on ne lâche plus ce jeu. On veut connaître la fin...
Bon, à ce stade, je vois que vous êtes déjà convaincu et que vous savez à présent que ce qu’il vous faut pour traverser vaillamment la crise économique. Je veux parler bien entendu d’une partie de Wing Commander III: Heart of the Tiger comme en 1995. Alors, allez-y et foncez : enfilez votre combinaison et boutez les horribles Kilrathi hors de la galaxie. Ça ne réduira peut-être pas la dette publique, mais ça ne peut pas faire de mal ! Et puis, notez qu’il existe aussi un Wing Commander IV, comme si le III ne suffisait pas...